Juché au sommet de l’hôtel Viru, on visite le musée du KGB et ses mystérieuses pièces d’une technologie très emmêlante. Caméra-périscope, téléphone rouge, machine à copier (un monstre), antennes dissimulées, cendriers microphones et, bien entendu, chambres sur écoute. On apprend que dans l’espoir de recevoir de nouveaux ennemis à espionner, les officiers veillaient à assurer la bonne réputation de l’établissement en envoyant du personnel hôtelier lorsqu’un client se plaignait à voix haute dans sa chambre. « Y a plus de papier! »